UN OUVRAGE QUI RELATE L'HISTOIRE DE L'ANCIENNE BELGIQUE
DE SES ORIGINES À NOS JOURS.
C'est au cœur de la ville, juste au-dessus d'une ligne de métro qui transporte chaque jour des milliers de personne sur la jonction Nord-Midi, que se dresse l'une des salles les plus mythiques de Bruxelles : l'Ancienne Belgique. Résonnant au son du rock, de la pop, du jazz, mais aussi des musiques les plus contemporaines (rap, soul, dance, reggae), quelque 300 concerts y sont organisés chaque année.
L'AB accueille aussi bien des jeunes artistes de talent que des pointures internationales, des artistes belges comme étrangers. Du cabaret des années 1930 à la salle occupée par les Allemands durant la guerre, des yéyés au punk en passant par la new wave, de Charles Aznavour à Zap Mama, en passant par Brel, Brassens, Trenet, Piaf, Johnny Hallyday, David Bowie, Lou Reed ou plus récemment Puggy,
Johan Ral plonge avec délectation dans l'histoire de ce temple de tous temps dédié au divertissement. Abondamment illustrée (et certaines photos sont inédites), cette bible de l'AB devrait ravir tous les fans de musique éclectique !
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"Johan Ral raconte par le détail cette belle histoire, s’arrêtant à de nombreux concerts historiques qui se sont donnés rue des Pierres. L’index alphabétique de tous les artistes cités permet de retrouver facilement un concert en particulier et sa date. Et, cerise sur le gâteau, de nombreuses photos d’archives complètent ce voyage dans le temps, au royaume de nos meilleurs souvenirs. Voilà une bien belle nouvelle bible dédiée au dieu rock!"
Thierry Coljon - Le Soir - 28 octobre 2015
The Stranglers - années 1970
© Johan Ral/Renaissance du Livre
L’AB DE A À Z
Du cabaret des années 1930 à la salle occupée
par les Allemands durant la guerre, des yé-yé aux
punks, l’Ancienne Belgique, décor d’un livre très
fouillé, en a vu défiler en près d’un siècle. Bourré
d’anecdotes, le bouquin est savoureux… On sourit
en apprenant que les métalleux durs et tatoués
jusqu’aux entrailles de Korn exigent du soda light
pour se désaltérer. Ou en découvrant ce témoignage
d’un journaliste qui a jeté un oeil dans la
loge occupée par Kraftwerk lors d’un concert en
1991 et n’y a trouvé qu’un ordinateur et un costume
revenu du pressing. Calibré pour plaire
aussi bien aux simples amateurs de musique
qu’aux fans passionnés de détails, cette plongée
au coeur de l’AB ne sombre jamais dans le people
et sent le travail bien fait de A à Z.
Télémoustique 28 octobre 2015 |